Deosai (ski) – Le retour…
Direction le plateau du Deosai pour une nouvelle découverte.
Toujours grâce à l'indépendance que procure le ski-Pulka.
C'est parti...
Enfin la possibilité de flâner, de prendre du temps, un peu. Il ny a pas vraiment dautres possibilités. Il manque un refuge au Nord, alors que dans laxe transversal il y en a 3 qui se succèdent ainsi que de nombreux hébergements dans la vallée toute proche.
Le seul col de la journée nous fait quitter le Parc National du Grand Paradis pour entrer dans le parc du Régional du Mont Avic.
Mais pour autant, nous sommes toujours dans les pylônes. Un pylône nous attend même ancré au col, énorme sémaphore électrique.
Cette nécessité énergétique se marie assez mal avec la notion de grands espaces. Mais il faut faire avec. Le refuge suivant, Miserin, est lui aussi proche du transport électrique, mais son orientation permet den oublier les préjudices visuels.
Au final, jai un petit penchant pour ce refuge par rapport à celui de la nuit dhier, si javais su
Il était très bien, mais ce dernier est mieux placé, plus cosy Mais, je ne suis pas impartial, les gardiens sont des fanatiques de Télémark. Je suis sous le charme dune peinture représentant cet art de la glisse, réalisée par un artiste valdôtain.
Cest donc un stop obligé, pas de cappuccino, mais un café latte
Il ne reste plus quà descendre dans ma vallée. La présence humaine est indéniable. Les vastes pâturages et les terrasses de culture permettent de se projeter dans une époque deffervescence. Le sentier que nous empruntons en est un des vestiges.
Champorcher et les hameaux satellites sont un peu moins intéressants que les villages précédents, même si certaines maisons restaurées ont su garder un certain charme.
Alors que les constructions plus modernes et un magnifique parking à camping-cars viennent enlaidir à merveille ce fond de vallée.
Heureusement, il reste la pizza du soir et la pana cota au génépi. Il faut bien cela pour nous préparer à la montée de demain, lavant-dernier jour
Laurent