Actualités / 13 août, 2017

Marchés malgaches, de la ville à la campagne…

Les marchés…le mot est lâché.

C’est presque devenu un incontournable d’un voyage dans n’importe quel pays.

Mais, je ne vous parle pas des marchés touristiques où l’on peut trouver quelques légumes mélangés avec des fruits et de nombreux souvenirs… Non, je vous parle d’un marché local, qui n’attend rien du tourisme, pour cause, il n’y en a pas…

Je vous invite donc à découvrir deux styles de marchés :

• Ceux des hauts-plateaux, qui s’organisent tout au long des vallées selon le jour de marché.
• Ceux de la capitale

Deux mondes, mais la même atmosphère.

Il suffit de se laisser adopter par les vendeurs et les chalands, de discuter un peu et après il est facile de pouvoir faire quelques images.

Dans tous les cas de figure, les marchés s’articulent autour des mêmes produits :

• Légumes
• Viandes – poissons
• Riz et produits secs
• Chinoiseries…

Ce sont donc des marchés ultra-colorés qui s’étirent sur de nombreuses heures.

A Antananarivo, c’est à la journée. Sur les hauts-plateaux, eh bien, cela dépend de la distance à parcourir pour y parvenir…souvent rien avant 08h00…voire 10h00.

Petite particularité des plus gros villages des hauts-plateaux, l’emplacement réservé à la vente du Toka gasy (rhum malgache local). En ville, l’alcool local n’est pas autorisé. Pour être plus précis, ce type d’alcool est complètement interdit…

On le retrouve donc à la campagne. Pour pousser le bouchon un peu plus loin, il y a un collecteur accompagné d’un gendarme qui vient récupérer la taxe de vente de ce produit interdit à la vente…oui, tout est possible.

Je vous laisse donc découvrir ces fameux marchés :

• Ville

• Campagne

Vous voulez en savoir un peu plus sur la partie boucherie, d’une grande importance à la veille de la fête Nationale malgache (26 juin), je vous invite à cliquer ICI.

Tout cela m’a donné faim, je vous laisse..

Laurent